Face au péché, nous avons tous besoin d’un Sauveur

Romains 3.9–26 (S21) : Que dire donc? Sommes-nous supérieurs aux autres? Pas du tout. En effet, nous avons déjà prouvé que Juifs et non-Juifs sont tous sous la domination du péché, 10comme cela est écrit: Il n’y a pas de juste, pas même un seul; 11aucun n’est intelligent, aucun ne cherche Dieu; 12tous se sont détournés, ensemble ils se sont pervertis; il n’y en a aucun qui fasse le bien, pas même un seul; 13leur gosier est une tombe ouverte, ils se servent de leur langue pour tromper. Ils ont sur les lèvres un venin de vipère; 14leur bouche est pleine de malédiction et d’amertume. 15Leurs pieds courent pour verser le sang, 16la destruction et le malheur marquent leur passage, 17ils ne connaissent pas le chemin de la paix. 18Il n’y a aucune crainte de Dieu devant leurs yeux.
19Or nous savons que tout ce que dit la loi, c’est à ceux qui vivent sous la loi qu’elle le dit, afin que toute bouche soit fermée et que le monde entier soit reconnu coupable devant Dieu. 20En effet, personne ne sera considéré comme juste devant lui sur la base des œuvres de la loi, puisque c’est par l’intermédiaire de la loi que vient la connaissance du péché.
21Mais maintenant, la justice de Dieu dont témoignent la loi et les prophètes a été manifestée indépendamment de la loi: 22c’est la justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ pour tous ceux qui croient. Il n’y a pas de différence: 23tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu, 24et ils sont gratuitement déclarés justes par sa grâce, par le moyen de la libération qui se trouve en Jésus-Christ. 25C’est lui que Dieu a destiné à être par son sang une victime expiatoire pour ceux qui croiraient. Il démontre ainsi sa justice, puisqu’il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, à l’époque de sa patience. 26Il la démontre dans le temps présent de manière à être juste tout en déclarant juste celui qui a la foi en Jésus.

Face au péché, nous avons tous besoin d’un Sauveur

    Nous sommes indignes (3.9-18)
    Nous sommes tous condamnés (3.19-20)
    Nous sommes justifiés (3.21-26)